Avec les décrets BACS et tertiaire, les cafés hôtels et restaurants (CHR) doivent plus que jamais surveiller et réduire leurs consommations. Des solutions de GTB prêtes à l’emploi, adaptées aux besoins des CHR, sont au rendez-vous avec, à la clé, des bénéfices concrets en matière d’optimisation des charges d’exploitation, mais aussi de meilleur confort et meilleure expérience client.
Réduire les consommations, tenir les objectifs du décret tertiaire pour les sites qui y sont soumis, et rendre le bâtiment économe en énergie tout en apportant un maximum de confort pour les clientèles, la filière des industries électriques y est prête et en action. Café, hôtels, restaurants n’échappent donc pas au mouvement, et les solutions proposées représentent à la fois un levier de modernisation et une opportunité pour améliorer le confort au sein de l’hôtel. Toutefois, le déploiement n’est pas encore massif, notamment pour les petits établissements, pour qui la mise en place de solutions simples et abordables est avant tout le déclencheur principal pour réduire les factures énergétiques, tout en gagnant en confort pour les clients.
La prise de conscience du secteur hôtelier progresse
Pour Thierry Marx, président de L’Union des Métiers et des Industries de l’Hôtellerie (Umih), « avec la transition écologique, le premier défi est d’améliorer notre impact sur l’environnement et la performance énergétique des établissements, tout en conservant la qualité de service et de confort que le client est en droit d’attendre. Tout en sachant que nous devons également améliorer la qualité de vie au travail pour les collaborateurs et la RSE de nos entreprises au sens large ». Lutter contre le gaspillage alimentaire, réduire la consommation de fluides et la production de biodéchets, améliorer le rendement énergétique des équipements sont donc autant d’actions qui sont mises en place progressivement par les établissements.
Le partenariat mis en place avec l’Ademe concerne notamment la réalisation de diagnostics environnementaux, un second objectif correspond au projet « Hôtel du futur », qui accompagnera une trentaine d’hôtels pour améliorer l’efficacité énergétique et le déploiement d’énergies renouvelables.
Une volonté du syndicat qui se traduit aussi au travers de la publication du tout récent Guide de la décarbonation du secteur CHRDT (cafés, hôtels, restaurants, discothèques, traiteurs) pour accompagner les professionnels dans leur transition écologique. Organisé autour de quatre axes – Mesurer, Réduire, Mobiliser, Contribuer –, ce guide propose une méthode pratique et adaptée, quel que soit le type ou la taille de leur établissement, afin de répondre aux enjeux concrets du terrain.
Selon l’ADEME (2023), un hôtel consomme en moyenne 241 kWh/m²/an, mais cette consommation varie beaucoup selon le type d’établissement, son niveau de confort, son âge, ses équipements, sa localisation et la saisonnalité de son activité. Et l’énergie consommée représente 5 à 10 % du chiffre d’affaires d’un hôtel.
Les postes de consommation, quant à eux, diffèrent beaucoup également selon la nature de l’établissement – les postes de consommations d’un restaurant étant très différents de ceux d’un hôtel.


« Pour les hôtels confrontés à des besoins énergétiques importants, le décret BACS peut être un levier utile, mais il n’est pas le seul facteur de motivation. Comme beaucoup d’établissements, les cafés, hôtels et restaurants (CHR) doivent maîtriser leurs consommations énergétiques, surtout dans un contexte où l’augmentation du prix de l’énergie pèse lourdement sur leurs coûts d’exploitation »,
introduit Cyril Petit, prescripteur Sud-Est pour B.E.G. France.
Rappelons que le décret BACS concerne en premier lieu les bâtiments existants dont la puissance nominale est supérieure à 290 kW, avec une date butoir de mise en œuvre fixée au 1er janvier 2025. Puis, à partir du 1er janvier 2027, le seuil sera abaissé à 70 kW.
Un complexe hôtelier qui allie confort, design et performances : l’hôtel Bleu à Carry-le- Rouet – Grégoire Terrier, directeur commercial Zennio France
L’hôtel Bleu, inauguré en juillet 2024 et situé au pied du port de Carry-Le-Rouet, est un établissement 4 étoiles en bord de mer, avec une architecture en forme de « paquebot » qui accueille, sur trois étages, 44 chambres et suites (cabines), mais aussi un restaurant gastronomique, un bar d’été et d’hiver, un spa, une piscine à débordement, et des espaces séminaires.

L’hôtel Bleu souhaitait mettre en place des installations technologiques modernes pour répondre aux exigences actuelles des voyageurs en termes de confort et de services personnalisés. Les principaux objectifs poursuivis étaient :
· Améliorer l’expérience client : grâce à un contrôle centralisé de l’accès, de la température, de l’éclairage et des rideaux motorisés, offrant ainsi un confort sur mesure optimal et des ambiances personnalisées selon à la fois les moments de la journée et les préférences des clients.
· Simplifier la gestion : en centralisant les commandes pour faciliter le travail de l’exploitant et du personnel technique.
· Optimiser les coûts énergétiques : via des scénarios intelligents et l’automatisation, réduisant ainsi la consommation d’énergie.
· Renforcer l’image écoresponsable : en intégrant des solutions durables et innovantes.

La solution Zennio, qui s’appuie sur le protocole KNX, a été mise en place par l’intégrateur Cust’Home, et déclinée au sein de l’établissement au travers de la supervision centralisée du BMS de Zennio qui contribue à faciliter la gestion quotidienne des installations, mais aussi l’optimisation des consommations énergétiques.
La GTB BMS Zennio centralise, en sus des fonctions CVC, le contrôle d’accès aux chambres et aux bornes pour véhicules électriques. Des scénarios automatisés ont été mis en place pour la gestion de l’occupation des chambres, l’extinction automatique en cas d’absence, le pilotage des éclairages, des rideaux motorisés, de la climatisation, etc.

Des actionneurs ALLinBOX Zennio ont notamment été mis en place dans les chambres pour l’intégration au réseau BMS et le contrôle de l’ensemble des capteurs d’ambiance et des systèmes de la chambre.
Des interfaces DALIBOX Broadcast et KLIC-DI V2 (Daikin) permettent le contrôle respectivement de l’éclairage et du système de climatisation-chauffage.
En résumé, l’hôtel allie ainsi technologie, efficacité et respect de l’environnement, pour une offre haut de gamme qui répond complètement aux objectifs des décrets BACS et tertiaire.
Comprendre et analyser les consommations et les moyens techniques en place
Le point de départ et la base pour la mise en place d’une GTB dans le cadre du décret BACS, c’est de réaliser un audit technique de site. L’audit doit être effectué par un sachant qui donne des conseils agnostiques présentant les principaux postes de consommation et les équipements, ceux qui peuvent être conservés, améliorés ou bien changés en fonction des solutions et scénarios établis pour répondre aux objectifs des trois classes A B ou C. L’audit doit aussi permettre d’identifier les postes les plus énergivores pour faire des économies dans l’établissement. On retrouve ainsi souvent en cause les pertes thermiques ou les équipements obsolètes, mais la nature même des équipements, le climat ou encore les habitudes de la clientèle impactent aussi les dépenses.
L’audit doit donc aboutir à une cartographie complète de la consommation et établir une priorité dans les actions à réaliser selon leur retour sur investissement et leur facilité de réalisation. En premier lieu pour le chauffage, avec, par exemple, des actions telles que :
– réduire les dépenses avec un meilleur contrôle des températures, surtout en climat rude, avec l’installation de thermostat par pièce, la mise place de régulateurs ou des détecteurs de présence, l’adaptation de la température selon les zones (chambres, parties communes, cuisines…) et les habitudes de la clientèle ;
– améliorer l’isolation thermique du bâtiment (double vitrage, calfeutrage, isolation des toitures, souvent en premier lieu pour les bâtiments les plus anciens) ;
– et, bien entendu, éteindre le chauffage dans les chambres inoccupées avec une limitation du contrôle de la clientèle sur la température des chambres.
En deuxième lieu, l’utilisation de l’eau chaude sanitaire dans l’hôtellerie est un poste important car il contribue au confort des occupants, qui consomment souvent plus que de raison, parfois jusqu’à deux fois plus… qu’à la maison. Pour réduire l’impact de ce poste sur la facture d’énergie d’un hôtel sans remettre en question le bien-être des hôtes, l’Ademe recommande d’installer des mitigeurs et des pommeaux et mousseurs à économie d’eau, de veiller à l’isolation des réseaux de distribution et d’assurer si possible la production d‘ECS avec des solutions hybrides de type solaire thermique et PAC. Des équipements plus performants ou simplement mieux réglés permettent aussi de réduire la facture d’eau chaude d’un hôtel, et la consommation d’eau de 20 à 40 % selon le niveau d’optimisation.
En troisième lieu, il convient de s’intéresser à l’efficacité énergétique de la climatisation. En période estivale, la climatisation devient un poste de dépense critique pour les établissements CHR, surtout lors d’épisodes caniculaires. L’installation de systèmes de climatisation réversibles à haut rendement, couplée à une gestion centralisée, permet de concilier confort et sobriété énergétique dans les établissements d’hébergement. Mais il est possible aussi de mieux réguler les systèmes, de limiter les températures de consignes, de vérifier régulièrement l’étanchéité des fenêtres, de réduire les apports solaires, etc.
Le tout doit être couplé à la mise en place ou à l’amélioration de la GTB de l’établissement. Une GTB qui sera le centre nerveux garant des objectifs de confort et de maintien de sobriété énergétique sur tous les postes suivis. La GTB offrant a minima, au travers d’une technologie mature et fiable, un suivi précis des consommations par zone ou par usage, des alertes en cas de dérives, des scénarios programmables selon les taux d’occupation et les préférences des clients, et une interface de pilotage simple pour le personnel et les clients.
Le contrôleur d’ambiance, maillon essentiel de la gestion par pièce
Les contrôleurs installés dans chaque chambre de l’hôtel communiquent avec la structure GTB en place et assurent le confort local du client dans sa chambre, avec des scénarios d’accueil en fonction du profil du client, mais aussi du moment de la journée, le tout en lien avec en particulier le confort d’éclairage, de température, voire dans certains cas l’ambiance sonore.
Ces contrôleurs d’ambiance sont plus qu’un simple écran tactile : pour citer un exemple, le contrôleur iONprime de Theben intègre quatre capteurs – thermostat, hygrométrie, luminosité, détection de proximité – et permet ainsi de piloter éclairage, stores, CVC et scénarios variés. Le contrôleur devient la pièce maîtresse à la fois du confort et de la maîtrise énergétique de la chambre, et apporte la réponse aux besoins de gestion locale pièce par pièce selon les décrets BACS et tertiaire. Il est aussi conçu pour être simple à paramétrer, full KNX, sans plug-in pour le paramétrage dans ETS.

Côté confort d’usage et convivialité, le contrôleur de Theben est muni d’un fond d’écran personnalisable et s’appuie sur un écran numérique haute définition.
La communication effectuée vers la GTB du site permet de donner visibilité et contrôle global et centralisé des chambres. L’opérateur de l’hôtel peut avoir ainsi une vision complète du ou des bâtiments dans leur globalité de services, mais aussi des chambres et, suivant son profil utilisateur, de tout ou partie des équipements techniques. Par exemple, les évolutions du niveau de confort de l’établissement peuvent être suivies en temps réel, ainsi que l’utilisation des espaces, avec des alarmes en cas de dysfonctionnement pour apporter de la réactivité et maintenir le confort.
D’autres fabricants proposent des contrôleurs d’ambiance communicants et des solutions complètes de GTC répondant au décret BACS ; citons notamment ABB ou encore Distech Controls, Legrand et Schneider Electric, qui possèdent tous des références et des solutions adaptées au secteur hôtelier, avec des déclinaisons de solutions plus ou moins étoffées, en fonction des besoins de chacun et de l’identité de l’hôtel.
Une « GTB light » pour piloter les systèmes de l’hôtel et assurer le confort au quotidien – Clément Bamy, responsable commercial – Smart & Connective
« Même si la réglementation s’applique d’abord aux bâtiments dépassant certains seuils de puissance, nous constatons que de nombreux établissements plus modestes s’en emparent pour améliorer leur confort et leur performance énergétique, tout en valorisant leur image environnementale. Les hôtels et restaurants cherchent désormais des solutions simples à mettre en œuvre, capables de moderniser sans travaux lourds leurs installations techniques. C’est exactement la vocation de notre approche « GTB Light » », introduit l’expert de Smart & Connective.

La technologie de la GTB light de Smart & Connective repose sur des automates communicants CEOS, installés sur site, qui agrègent les données des équipements via les protocoles standards du bâtiment BACnet, Modbus, Zigbee, Z-Wave. Ces automates communiquent ensuite avec la plateforme cloud sécurisée d’hypervision, en mode Saas, accessible depuis n’importe quel navigateur web. La plateforme permet de gérer un établissement et ses différentes zones, mais aussi plusieurs sites géographiquement distants et met à disposition un suivi énergétique consolidé, avec un suivi d’exploitation plus fluide et homogène et des remontées d’alertes pertinentes.
« La solution proposée adresse les points critiques essentiels de l’hôtel ou du restaurant et permet ainsi de piloter et superviser en temps réel les postes de consommation : le chauffage, la climatisation, l’éclairage, la ventilation, notamment, et sans infrastructure locale complexe », poursuit l’expert.
« Tout récemment, illustre l’expert Smart & Connective, nous avons équipé un hôtel de 80 chambres disposant d’un restaurant et d’un spa avec des automates CEOS pour le pilotage des pompes à chaleur, de la CTA et des différents circuits ECS. Pour la gestion des chambres, des capteurs de température et d’ouverture de fenêtre gèrent le passage automatique en mode “éco” à la fermeture des chambres, la relance douce du chauffage le matin, la coupure automatique des équipements en inoccupation et l’alerte maintenance en cas d’écart de consigne persistant. À la clé, des résultats tangibles, avec une baisse de 20 % de la consommation liée à la CVC la première année, sans dégradation du confort, et avec de meilleures continuité de service, fiabilité, et une diminution des interventions manuelles sur le site.
Rénovation de l’éclairage pour allier efficacité énergétique et confort visuel des occupants
« En matière d’éclairage, chaque espace d’un hôtel a des besoins et des contraintes spécifiques. Les systèmes de gestion d’éclairage intelligent permettent d’interconnecter ces espaces tout en s’adaptant aux exigences propres à chaque local. Grâce à des technologies modernes comme KNX ou DALI, il est désormais possible, via un seul système, de proposer un éclairage parfaitement adapté à chaque usage », explique Cyril Petit pour B.E.G. France.
Dans les parties communes – couloirs, halls, sanitaires, etc. –, les détecteurs de présence permettent d’ajuster l’éclairage en temps réel et garantissent un confort optimal pour les utilisateurs, tout en éteignant ou réduisant automatiquement la lumière en cas d’absence, conformément à la réglementation.

« Pour les espaces de réception, de restauration ou les bars, le système prend également en compte l’éclairage naturel, ce qui permet de diminuer l’intensité des lumières artificielles et de réduire significativement la consommation d’énergie. Ainsi, l’éclairage s’active uniquement lorsque cela est nécessaire », détaille l’expert de B.E.G.
Le projet d’éclairage couvre en général au minimum les espaces communs, qui, sans dispositif de gestion, restent souvent allumés à pleine puissance en permanence, entraînant des consommations énergétiques inutiles. « Les interventions concernent également les espaces de vie de l’hôtel – salles de réunion, séminaires, restaurants, bars, saunas, etc. – avec des solutions permettant de créer des ambiances lumineuses évolutives, adaptées aux différents moments de la journée et toujours selon les besoins réels de chaque espace », poursuit Cyril Petit. Par exemple, dans un hôtel, un système de pilotage horaire a été mis en place, offrant des ambiances lumineuses distinctes (matin, après-midi, soirée) dans des espaces comme le spa, le restaurant ou le bar. Des tableaux de commande locaux permettent au personnel de reprendre manuellement le contrôle si nécessaire, tout en assurant l’extinction automatique des zones en dehors des heures d’ouverture.

En plus des réductions significatives de consommation permises par une gestion intelligente de l’éclairage, cette approche offre trois avantages majeurs :
– Évolutivité : les solutions ne sont plus limitées par l’installation ou le câblage initial. Elles peuvent s’adapter et évoluer facilement selon les besoins et les réaménagements.
– Sécurité : même en cas de panne d’un équipement, le dispositif reste opérationnel grâce à une intelligence répartie, assurant un fonctionnement dégradé mais maintenu.
– Pérennité : ces installations garantissent un bâtiment durable, capable de s’adapter aux évolutions futures et de suivre la vie du bâtiment sur le long terme.
Les nouvelles technologies mises en place, qu’elles soient destinées au personnel ou aux clients, doivent reposer sur des interfaces simples, intuitives et claires. « La supervision centralisée de l’éclairage via la ViSTATION de B.E.G. permet de créer des tableaux de commande virtuels accessibles depuis un PC, une tablette ou un smartphone. Ces interfaces peuvent prendre la forme de boutons de pilotage virtuels (tuiles interactives) et la visualisation des espaces est réalisée sur des plans 2D ou des arrière-plans personnalisés. L’objectif est de bien cerner les besoins avec le gestionnaire et de concevoir une interface ludique, explicite et facile d’utilisation pour tous », ajoute l’expert de B.E.G.

De façon générale, les systèmes de gestion de l’éclairage, aussi bien en rénovation que sur du neuf, reposent sur les protocoles standards DALI et/ou KNX. « Ces protocoles standards permettent également de communiquer avec les autres lots techniques, par exemple la CVC, et il est ainsi possible de remonter les données, via une interface IP ou BACnet, pour une gestion globale du bâtiment. B.E.G. propose en outre son expertise dès la phase de prescription auprès des bureaux d’études électricité, mais aussi au niveau de l’intégration et de la mise en service des installations », conclut l’expert.
Des aides financières sont disponibles pour les TPE comme pour les grands établissements
Les hôtels, comme tous les bâtiments tertiaires, peuvent bénéficier de plusieurs aides financières, souvent cumulables, pour réduire le coût des travaux de rénovation énergétique de leurs établissements, citons :
– les certificats d’économies d’énergie (CEE), qui peuvent s’appliquer sur plusieurs volets (sous-comptage, système de mesurage et de suivi des consommations, fiches d’opération standardisées sur les volets de la rénovation des systèmes CVC ou bien sur l’isolation de l’enveloppe du bâtiment) ;
– le prêt vert ou encore le prêt éco-énergie de Bpifrance ;
– le tremplin pour la transition écologique des PME de l’ADEME ;
– les aides forfaitaires du « fonds tourisme durable » accordées par l’Ademe et qui concernent toutes les études et investissements pouvant être réalisés pour répondre aux impératifs de la transition énergétique : les économies d’eau et d’énergie, la réduction des déchets et du gaspillage alimentaire, la décarbonation, la mobilité durable ;
– le crédit d’impôt à la rénovation des TPE-PME du tertiaire.
« Au sein de la solution la GTB Light Smart & Connective, il y a également la possibilité d’obtenir une source de revenus supplémentaire grâce à « l’add-on Effacement », qui va permettre de valoriser la flexibilité énergétique des bâtiments. En partenariat avec des acteurs spécialisés comme Tilt, les établissements peuvent participer à des programmes d’effacement et percevoir jusqu’à 1 € par mètre carré et par an selon leur profil de consommation. C’est une opportunité particulièrement intéressante pour le secteur CHR, où les surfaces sont importantes et les usages énergétiques réguliers », détaille Clément Bamy, responsable commercial de Smart & Connective.
Basée sur un maillage de petits automates et sur des IoT préconisés lors de la phase d’analyse, la solution Smart & Connective a été mise en place par un intégrateur référencé et permet d’obtenir une GTB de classe A ou B, sur une architecture non filaire, en lien avec la plateforme d’hypervision en mode Saas », complète Clément Bamy.
Jean-François Moreau






